Titre : Queen Sonja – Le destin d’une reine
Scénario : Joshua Ortega
Dessins : Mel Rubi
Couleurs : Vinicius Andrade
Editions : Graph Zeppelin
Année : 2019
Nombre de pages : 136
Sommaire de l'article
Résumé de l’éditeur sur le comics Queen Sonja Le destin d’une reine:
Alors que le royaume de Sogaria est envahi par le Emoriens qui sèment le chaos sur leur passage, Red Sonja se voit confier une mission : retrouver les voleurs qui ont attaqué Lady Rosenda et lui restituer ses biens.
En échange, elle recevra la légendaire épée de l’aurore. C’est ainsi qu’elle va s’engager dans un périple qui la mènera inexorablement, et de manière totalement inattendue, vers ons destin…
Celui d’une rein qui mène son peuple vers la liberté.
Mon avis sur le comics Queen Sonja Le destin d’une reine :
Dans cet ouvrage, réalisé par Joshua Ortega et Mel Rubi, nous allons découvrir l’accession au trône de notre redoutée et intrépide guerrière.
Une petite histoire emplie de bravoure, d’humanité, de complot et traîtrise, de gentils monstres et vilains sorciers etc…
Planche extraite de la BD |
Le scénario de Joshua Ortega pour le comics Queen Sonja Le destin d’une reine :
Puis le contrat avec Lady Rosenda, de récupérer une épée légendaire qui lui appartenait, va tout déclencher.
D’évènements en évènements, notre amazone va découvrir nombres de secrets que cache le royaume jusqu’à son ascension au trône…
En aucun cas elle ne semble faire de faux pas bien que ses aventures et mésaventures ne l’épargnent pas, et la succession de ses épopées va la conduire bien malgré sa volonté à la tête d’un royaume.
Et c’est en ce sens que ce récit est surprenant et prenant. Joshua Ortega construit, avec une telle adresse, tout en vitesse et finesse, son récit, pour élever notre héroïne au poste suprême de l’héroïque fantasy : la souveraineté.
L’histoire se décompose en cinq chapitre avec une montée en puissance pour finir sur l’apothéose: la fin d’une légende, le début d’un mythe.
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Le dessin de Mel Rubi pour le comics Queen Sonja Le destin d’une reine :
Le trait épais donne une force incroyable aux personnages, et le style de Mel Rubi dégage une formidable énergie, limite une prépotence souveraine.
Les expressions et sentiments sont bien rendus mais restent dans l’ensemble rudes, durs et froids. Ce qui s’explique évidemment par la droiture ou la vilaineté des protagonistes dans cet univers chevaleresque.
Les couleurs sont, quant à elles, très vives et accrocheuses.
Elles avivent le dessin et maintiennent notre regard posé sur la scène.
Elles sont chatoyantes et donne beaucoup de vie et d’intérêt au crayonné.
Les effets visuels sont nombreux et efficaces et bien représentatifs du style américain.
Les mises en scène sont grandioses, et on admire le travail et la patience qu’il a fallu avoir pour esquisser les scènes de bataille, l’étrangeté et l’horreur des divers monstres, etc…
Les pleines pages et doubles pages sont juste splendides !!
Planche extraite de la BD |
Il est aussi à noter que ce livre fait l’objet d’une histoire complète pour notre plus grand plaisir.
Ciao
Yann