Titre: Les aventures d’Hergé
Édition: Reporter
Auteurs: Fromental, Stanislas
Année: 2007
« Les aventures d’Hergé » est une bande dessinée autobiographique car elle raconte des passages de la vie d’Hergé. On le découvre dans différent moments de sa vie ,par exemple :son passage chez les scouts, le débuts de ses publications dans la presse belge, les rencontres avec de grandes stars comme Jacobs ou Wharol. Le titre « Les aventures d’Hergé » fait déjà référence à son œuvre « Les aventures de Tintin ».
L’histoire est assez sympa à lire car elle est ponctuée de petits passages humoristiques. Elle est divisée en plusieurs petits chapitres regroupant chacun des anecdotes de sa vie. On peut facilement le lire en plusieurs fois en s’arrêtant à la fin de ces chapitres qui font entre 2 et 5 pages en moyenne. On ne suit pas la totalité de sa vie car l’album commence en 1914, Hergé est alors âgé de 7 ans. On prend donc du plaisir à lire cet ouvrage qui compte 65 pages. Au niveau graphique, je n’ai absolument pas accroché. Les dessins de Stanislas sont trop géométriques à mon goût. Les membres et les visages des personnages sont tellement composés de lignes droites qu’ils peuvent ressembler à des robots à certains moments. Il y a une scène qui m’a beaucoup marqué qui se passe en montagne où les sommets sont de vulgaires triangles et où l’effet de neige est représenté avec quelques traits gribouillés sur la montagne. On dirait que les auteurs ont été pressés de finir l’album. Je pense néanmoins que c’est son style ( ligne claire) qui ne me convient pas. Personnellement, j’ai eu beaucoup de mal à le finir. Heureusement que le scénario m’y a encouragé. En regardant pour la première fois la couverture, elle m’a rappelé celle de l’album « La Marque Jaune » de Jacobs. Même si je sais que cela n’a rien à voir avec le thème de l’album, j’avais envie de vous le faire partager. La double page de la 2e de couverture ressemble aussi beaucoup à celle des « aventures de Tintin » avec leur multitude de cadres représentant les personnages de Tintin.
L’histoire est assez sympa à lire car elle est ponctuée de petits passages humoristiques. Elle est divisée en plusieurs petits chapitres regroupant chacun des anecdotes de sa vie. On peut facilement le lire en plusieurs fois en s’arrêtant à la fin de ces chapitres qui font entre 2 et 5 pages en moyenne. On ne suit pas la totalité de sa vie car l’album commence en 1914, Hergé est alors âgé de 7 ans. On prend donc du plaisir à lire cet ouvrage qui compte 65 pages. Au niveau graphique, je n’ai absolument pas accroché. Les dessins de Stanislas sont trop géométriques à mon goût. Les membres et les visages des personnages sont tellement composés de lignes droites qu’ils peuvent ressembler à des robots à certains moments. Il y a une scène qui m’a beaucoup marqué qui se passe en montagne où les sommets sont de vulgaires triangles et où l’effet de neige est représenté avec quelques traits gribouillés sur la montagne. On dirait que les auteurs ont été pressés de finir l’album. Je pense néanmoins que c’est son style ( ligne claire) qui ne me convient pas. Personnellement, j’ai eu beaucoup de mal à le finir. Heureusement que le scénario m’y a encouragé. En regardant pour la première fois la couverture, elle m’a rappelé celle de l’album « La Marque Jaune » de Jacobs. Même si je sais que cela n’a rien à voir avec le thème de l’album, j’avais envie de vous le faire partager. La double page de la 2e de couverture ressemble aussi beaucoup à celle des « aventures de Tintin » avec leur multitude de cadres représentant les personnages de Tintin.
